LE "J'ACCUSE" D'UN COLLECTIF ANONYME (L'Union et Le Courrier de Fourmies du 24/03/11)

Communauté hospitalière de Thiérache

PAS de rendez-vous possible. Pas de nom, pas de numéro de téléphone non plus. Même le coup de fil que notre interlocuteur s'engage à nous passer ne doit pas laisser de trace. Après lui avoir envoyé un message privé sur le réseau social Facebook, à l'adresse de la page du collectif « Ma vie mon hôpital », il se décide à nous contacter. En numéro masqué, encore.
« Nous devons rester anonymes. C'est pour protéger le personnel hospitalier. Nous craignons des représailles. »
Le collectif « Ma vie, mon hôpital » vient de se créer et dès les premiers jours, il tape fort en se fendant d'un communiqué, qui se termine par « Brisons la loi du silence », lancé par des professionnels de la santé eux-mêmes…

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